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Bilan 1997 Bilan 97 - FormationL'activité de formation s'est déroulée, comme les années précédentes, dans deux directions : le secteur associatif et le secteur professionnel.
Formation professionnelleSept sessions ont été proposées au cours de l'année :
Formations extérieuresLes mêmes organismes qui inscrivent une ou deux personnes dans nos stages de formation professionnelle, peuvent, lorsqu'un nombre important de salariés sont intéressés, solliciter le Gisti pour la mise en place des formations « sur mesure » de plusieurs jours. Les groupes sont de 15 à 20 personnes et le programme établi en fonction des besoins exprimés. Au cours de l'année 1997, le Gisti a ainsi organisé des formations pour des hôpitaux, des clubs de prévention, des avocats, des associations, des élus. Ce type de formation a concerné entre 200 et 250 personnes.
Interventions ponctuellesLes demandes d'intervention parvenues au Gisti tout au long de l'année ont été à la fois très nombreuses, émanant de publics très différents et d'un peu toutes les régions de France. Répondre à ce type de sollicitation, même si cela fait partie de la « mission » du Gisti, demande malgré tout un investissement important en temps et en énergie et représente souvent une charge financière pour l'association.Le Gisti a ainsi été invité à animer ou à participer à des débats sur les très nombreux textes ou projets de textes qui se sont succédé au cours de l'année. Ces invitations faites par des collectifs de sans-papiers, des comités de quartier ou des collectifs d'associations, des écoles, des lycées, des facultés, des radios libres ou officielles, des associations françaises ou étrangères, , ont amené des membres du Gisti à aller de Lille à Toulouse, du Havre à Angoulême, de Rouen à Grenoble parler du projet de loi Debré, des critères de la circulaire de régularisation, du projet de loi Chevènement, mais aussi de la politique d'immigration et de l'ouverture des frontières. Dans le cadre d'accords de partenariat avec deux importantes associations, le Gisti s'est engagé à assurer, dans différentes régions de France, la formation de personnes-relais chargées donc, à leur tour, non seulement de diffuser l'information sur les droits des étrangers, mais également de former d'autres militants impliqués sur le terrain. Ce travail permet à la fois d'appréhender des situations différentes, d'être en relation avec des groupes confrontés à une réalité difficile que le Gisti ne connaît pas forcément, et de démultiplier le travail d'information que le Gisti ne peut assurer seul.
Dernière mise à jour :
29-05-2000 17:05. |